Saint-Tropez ... For Ever

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A St-Tropez, 200.000 euros de bijoux dérobés de la villa de Gérard de Villiers

 

Christine De Villiers déplore le vol de deux sacs Hermès de collection dont elle conserve les photos dans son ordinateur.

Près de 200.000 euros de bijoux et effets personnels dérobés dans la résidence tropézienne de Gérard de Villiers, l'auteur de SAS.

« Scandalisée ! ». Madame SAS alias Christine De Villiers ne décolère pas. Victime d'un énième cambriolage dans sa résidence qui niche au cœur du domaine ultra-huppé et donc - en principe - ultra-sécurisé des Parcs, à Saint-Tropez, elle vient de déposer plainte auprès de la gendarmerie tropézienne. « Cette fois j'ai pour près de 200 000 euros de préjudice. Des individus se sont introduits dans la villa durant la nuit. Un ami qui a entendu du bruit s'est levé mais n'a rien vu. Hélas, le matin, j'ai constaté que de nombreux effets personnels avaient disparu...», explique-t-elle.

Son mari l'écrivain Gérard de Villiers, dont elle vit séparée mais qui doit bientôt rallier sa villa tropézienne, n'était pas présent au moment des faits qui remontent à fin avril.

Deux sacs Hermès à 60 000 envolés

« Les cambrioleurs ont uniquement fait main basse sur des objets de valeurs m'appartenant», constate Christine de Villiers, par ailleurs gérante de la société « Éditions Gérard de Villiers ». Principal butin, deux sacs Hermès modèle « Kelly », objets de collection très prisés pouvant atteindre jusqu'à 54 000 e aux enchères. La valeur de cet ensemble frôlerait à lui seul les 60 000 e. Une montre en or, diamants et rubis Van Cleef & Arpels ou une broche du joaillier Nardi, deux cadeaux de l'auteur des célèbres romans d'espionnage, ont également été dérobés ainsi que de nombreux vêtements griffés.

Les « tableaux de maîtres » ignorés...

Détail intrigant, aucune effraction n'a été constatée par la gendarmerie qui s'est rendue sur place dans les plus brefs délais. Pas la moindre empreinte non plus malgré les portefeuilles retrouvés délestés de leur carte bleue et argent liquide. Autre étrangeté, les nombreux tableaux de maîtres - Miro, Botero, Magritte - qui parsèment le salon sont, eux, restés en place. Renseignements pris, il s'agit en fait de reproductions (tout à fait légales) du peintre Jacques Harvey. Et cela, les très discrets et semble-t-il aussi très renseignés, « visiteurs du soir » le savaient.

 

Source : Cliquez ici





19/05/2013
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